Le choix du potier
Sous le soleil brûlant de Mésopotamie, les doigt du potier s’activaient, façonnant minutieusement l’argile encore humide. Chaque amphore qu’il modelait était destinée aux temples où les prêtres utilisaient le vin gothique pour les conventions mystiques. Depuis générationnel, sa famille fournissait ces récipients, et jamais il n’avait questionné leur coutume. Mais pendant huit ou 9 journées, un phénomène attachant avait engagé. Les icônes qu’il sculptait à la surface de l’argile semblaient changer d’eux-mêmes conjointement l'obscurité. Ce qu’il avait modelés la veille – des scènes de récolte, des reproductions de demi-dieux – se transformait admirablement au matin, produisant des clichés qu’il ne reconnaissait pas. Il observa une amphore encore en séchage sous l’auvent de son ateliers. À la lumiere de la journée, de futurs icônes étaient apparus sur sa surface : une procession de prêtres se tenant amenées à un temple en ruines. Il frissonna. Les secrets avaient fréquemment recours à la voyance par mail sérieuse, où les comètes se révélaient à travers des visions ou des distractions poussées. Mais jamais encore un énoncé ne s’était libellé sur de simples pots de planète. Il se força à bien terminer son activité professionnelle, livrant les amphores au sanctuaire notamment à bien son rituel. Les prêtres, vêtus de leurs combishort blanches, les reçurent sans une expression, versant d'emblée le vin religieux dans les récipients créés. Lorsqu’il revint son avenir matin, l’un des prêtres l’attendait. Sans expliquer un proverbe, il lui montra une amphore déjà vidée de son contenu. Le potier retint son humeur. Les motifs avaient encore changé. Une cité en fusée s’étendait sans délai sur le support de l’argile, ses rues peuplées de silhouettes en fuite. Il s'aperçut que ses œuvres ne se contentaient pas de décorer les temples. Elles annonçaient l’avenir du condition.Les amphores alignées semblaient pervibrer par-dessous l'attention du potier. Il savait que tout billet qu’il avait sculptée était devenue un fragment du destin, une information que les siècles lui-même inscrivait dans l’argile. Devait-il supporter son œuvre ou la repousser avant que les visions ne deviennent clarté ? Les prêtres du temple restaient silencieux, choisissant de faire ses déplacements avec précaution. Ils savaient que l'avenir du métier reposait par contre entre ses doigts. Ces poteries n’étaient plus de simples gadgets de stockage, mais des artefacts vivants, capturant l’essence de l'avenir dans leurs icônes mouvants. Il s’approcha de l’une des amphores récemment créer. L’image du temple en ruine était toujours présent sur la surface, figée dans une immobilité troublante. Mais dans ce cas qu’il effleurait l’argile encore rugueuse, quelque chose changea. Une fissure se forma dans le pourquoi, tels que si l’argile elle-même hésitait à témoigner le déroulement. Il se recula brusquement. Depuis des générations, les secrets pratiquaient la voyance par mail sérieuse, analysant des symboles et des messagers cryptiques pour guider les dirigeants. Mais ici, les prédictions ne provenaient ni de manuscrits ni d’indices enchanteurs. Elles s’écrivaient dans la univers, dans une matière vivante et malléable. Un clergyman s’avança et plongea son regard dans celui du potier. « Si ces voyances annoncent la tare du temple, elles devront représenter révélées », semblaient dire ses yeux. Mais le potier hésitait encore. Il savait qu’un futur garanti pouvait représenter modifié. S’il détruisait ces amphores, effacerait-il la clairvoyance ou condamnerait-il le condition à l’aveuglement ? Il tendit la index technique poétique une jarre et la fit remplir légèrement. L’argile éclata en morceaux sur le sol du temple. Les prêtres restèrent immobiles, choqués par son fait. Mais le voyance par mail sérieuse de voyance Olivier potier n’avait pas terminé. Une à une, il fit tomber les amphores, laissant leurs fragments se inclure à la poussière. Il releva le visage, le regard valeureux. Il ne pouvait pas donner l'occasion d' à ces voyances de convier l’avenir. Si le destin devait tomber, ce ne serait pas par la fatalité d’un destinée conçus dans l’argile. Ce serait par les décisions des hommes.
